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Zelda 1 : Legend of Zelda

 

     Il y a de cela de nombreuses années, le monde était plongé dans une ère de Chaos. Un jour l’armée démoniaque du Prince des Ténèbres, Ganon, attaqua le petit royaume d’Hyrule et déroba la Triforce de la Force. Son objectif suivant était d’enlever la princesse Zelda, qui, elle, détenait la Triforce de la Sagesse. Cependant, avant sa capture, Zelda sépara son fragment de Triforce en 8 morceaux qu’elle dissimula dans des temples sacrés. Notre héros, le valeureux Link, qui possède sans le savoir encore la Triforce du Courage, aura pour mission de retrouver les 8 morceaux de la Triforce de la Sagesse pour ensuite tenter de détruire Ganon afin de garder le monde d’Hyrule en paix.

     Voilà résumée en quelques mots l’intrigue de The Legend of Zelda, le premier épisode d’une longue, fructueuse et exceptionnelle saga, épisode paru en 1987 sur la défunte NES. Ce jeu a été celui de toutes les premières : premier action rpg (A-RPG) de l’Histoire, premier jeu à intégrer une pile de sauvegarde, première fois qu’une cartouche possède cette couleur dorée (marketing ? Coup de maître en tout cas !), premier jeu à dépasser le million d’exemplaires vendus, premier jeu à avoir une durée de vie aussi énorme… En fait le plus extraordinaire avec ce jeu, c’est qu’il a été un précurseur, en avance de plusieurs années sur tout ce qui avait déjà été fait, et encore aujourd’hui les bases qu’il a posées sont toujours reprises.
Comme quoi un principe simple, avec un peu d’ingéniosité, peut permettre de faire des jeux extraordinaires. En fait ce qui avait été désiré par le créateur de Zelda, Shigeru Myamoto, c’est un monde énorme dans lequel on aurait l’impression de pouvoir se perdre à tout instant. Et le reste à suivi naturellement grâce au talent et aux idées de Myamoto. Ainsi il a créé tout un monde imaginaire(celui d’Hyrule si vous avez bien suivi !) composé d’une énorme forêt, du lac Hylia, des montagnes de la Mort, un cimetière etc… le tout se déroulant à une époque rappelant l’ère médiévale.

     Le premier sentiment que l’on ressent en jouant à The Legend of Zelda (après le classique « Pouah ! Qu’est-ce que ça a mal vieilli ! »), c’est un sentiment de solitude, on se retrouve vraiment paumé, comme un Creusois débarquant à Tokyo ! Et c’est là que Myamoto a vraiment gagné son pari, car c’est la première fois dans un jeu vidéo qu’on ressent un sentiment de mal-être ! (Eh vi M. Sony, votre Emotion Engine, du temps de la NES on faisait aussi bien ! ;o)) Et d’ailleurs c’est peut-être  grâce à cette implication très forte du joueur que le jeu a connu un aussi immense succès !

     Mais l’aspect technique du jeu n’a pas été étranger à ce succès non plus, car certes on avait pas des grands graphismes (quoique pour l’époque je me pose des questions..), mais quand on avait une chauve-souris on reconnaissait la chauve-souris ! Ce qui a été assez frappant aussi dans ce jeu, c’est la diversité des décors, qui a beaucoup apporté au dépaysement des joueurs. Mais bon ce qu’il faut surtout se dire c’est que la grande avancée technique de Zelda a été la vue de ¾ - haut, maintes fois reprise depuis qui apporté une grande visibilité et surtout simplifiait la jouabilité.
Parlons-en de la jouabilité justement. Que dire sinon qu’elle est … (presque) parfaite ! Du fait qu’on utilisait que deux boutons, manier Link était un plaisir, le seul petit défaut m’ayant bien embêté est qu’on ne peut pas déplacer notre héros en diagonale, ce qui au début peut paraître bien déroutant . Sinon à part Link répond au doigt et à l’œil, un bouton pour l’épée, un pour un objet, c’est simple comme tout, ce qui est tout à fait normal venant de la part de Myamoto. (« Symplicity is synonym of Genius » comme le disait je sais plus qui dans je sais plus quoi :p)

     Au niveau sonore, bon d’accord c’est affreux comparé à ce qu’on voit aujourd’hui, mais le thème principal que l’on retrouve lorsqu’on est sur la carte est simplement GENIAL, un thème qui, je sais pas comment ça se fait mais dès que je l’entendais ça me donnait du courage et j’avais envie de bouffer du monstre ! (me regardez pas comme ça…) Et pour les autres thèmes je ne m’en souviens plus vraiment mais en tout cas je ne rappelle pas avoir déjà été déçu par une musique de Zelda.
Dernier point sur The Legend of Zelda, sa durée de vie : En tout, 9 dongeons plus tortueux les uns que les autres. Chacun comporte une multitude impressionnante de salles remplies de divers monstres. Il vous faudra trouver des clefs, boussoles, cartes et des passages secrets dans chaque dongeon si vous voulez avoir une chance de secourir la belle princesse Zelda. Et croyez moi, ce jeu est d’une longueur HALLUCINANTE !!!

     Enfin pour conclure on peut dire que ce Zelda a fait quelque chose de grand, a posé les bases d’un nouveau style de jeu, et que pour beaucoup il reste l’un des meilleurs jeux de tous les temps. Cependant ce soft a VRAIMENT mal vieilli, surtout d’un point de vue graphique, et si vous avez peur d’être rebuté par cet aspect, je vous conseillerais plutôt de passer directement à l’épisode de la Super Nes : The Legend of Zelda, A Link to the Past

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